Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

jihaneh

29 octobre 2005

le plastique, ce phénomène noir

Les ordures posent un énorme problème au Maroc. On trouve des tas de déchets en pleine ville, des décharges sauvages partout, des sacs en plastique au bord des routes, éparpillés dans les champs et pris dans les branchages des arbres.

D’un autre côté, ces sacs en plastique constituent un problème alimentaire, car ils contiennent des matières toxiques qui fondent au moindre contact avec les aliments chauds.

Ceci peut causer de très graves maladies et peut même engendrer un empoisonnement. Cependant, le succès qu’ont les sacs en plastiques noirs vient du fait qu’ils camouflent les achats dans ce pays, où la disparité sociale est forte.

Les sacs en plastiques n’ont désormais que des inconvénients : en plus du fait qu’ils polluent l’environnement et la nature, ils ne sont pas biodégradables. C’est-à-dire que leurs matières ne se décomposent pas pour entrer dans la constitution de la terre.

Il est temps de se retrousser les manches pour arrêter la pollution causée par ce phénomène noir.

Comment lutter contre le plastique noir ?

Commençons d’abord par le médiatiser en organisant des campagnes de sensibilisation sur la télé, la radio, les journaux et les affiches, pour initier ainsi les gens à utiliser les sacs en papier (qui se dégradent facilement sous l’effet de la pluie), et à réhabiliter le panier (qui aurait également comme avantage de soutenir un artisanat jadis florissant).

Le recyclage des déchets pourrait contribuer à faire diminuer les sacs en plastiques accrochés d’habitude dans les buissons. Si chacun de nous arrête d’utiliser des sachets noirs, les usines vont arrêter d’en produire et on aura ainsi pu vaincre le phénomène pour toujours.

Publicité
Publicité
26 juin 2005

quand la pauvreté mène à la prostitution infantile

     la prostitution est un terme qu'on entend de plus en plus souvent au Maro. Je voulais comprendre la signification exacte d ce mot, donc je me suis référé à plusieurs dictionnaires qui ont xpliqués tous ce mot comme étant "une pratique de la débauche à prix d'argent". En ce sens, il ne se dit que des femmes et des filles. Cependant, on entend actuellement parler de la prostitution infantile.

     Ce phénomène prend de plus en plus d'ampleur au Maroc, et surtout dans les villes touristiques.

     Ils ont entre 9 et 15 ans, et se livrent désormais à la prostitution, c'est-à-dire qu'ils vendent leurs corps contre une somme d'argent, souvent très modique, allant de 50 à 2000 Dhs pour les plus "chanceux".

     D'après quelques enquêtes, ces enfants se prostitutent chaque jour pour venir aux besoins de leurs familles. Ce qui prouve que la pauvreté est la cause essentielle du déclenchement de la prostitution infantile dans notre société.

     On parle également de tourisme sexuel. Certe, toute destination à vocation touristique connaît une recrudescence de la prostitution, mais quand il s'agit d'enfants, il faut prendre les mesures nécessaires pour faire face à ces pédophiles avides de chairs fraîches.

     Même côté protection, plus de 50% de ces enfants n'exigent pas de préservatifs, bien que 70% d'entre eux sont conscients des risques de contamination par les Maladies Sexuellement Transmissibles, comme le sida. Pire encore, parmi ceux qui se protègent,plus de 20% se disent prêt à oublier le préservatif si le "client" l'exige.

     D'un autre côté, il y'a les enfants exploités sexuellement, c'est-à-dire ceux qu'on oblige à se prostituer. On a vu plusieurs cas à la télévision, mais y'en a encore plus qu'on ne voit jamais, et qui sont exploités par l'un des parents ou des proches. Qu'en est-il de ceux-là?

     Ce phénomène reste tabou, et le tabou freine la prévention. Dans le même contexte s'ajoute le consentement de la société qui ferme els yeux sur les abus sexuels sur les enfants.

     En 2003, le MAroc a engagé sa première compagne médiatique contre l'exploitation sexuelle des enfants. Les citoyens estiment que l'initiative des autorités est globalement louable, malgré que les spots et les affiches n'étaient pas assez percutants.

     Le but de cette compagne (radio, télé, affichage), c'est protéger les enfants marocains de l'exploitation sexuelle, mais l'action était très timide et les spots trop pudiques. Par exemple le spot téléisé montrait un homme dont les yeux sont bandés, prendre une fillette par la main en lui donnant une sucette, soudain, un groupe d'adulte arrive, donc l'individu libère la petite fille, qui s'en va en courant. Slogan: "il faut prendre soin de nos enfants".

     De ce fait, la publicité ne souligne pas le crime que représente l'abus sexuel. On ne ressent pas la gravité de ce type d'actes. Il fallait montrer les choses crûment. Si les gens avaient vu un homme en train de déshabiller une fillette dans une chambre d'hôtel par exemple, la prévention aurait été beaucoup plus claire et sans ambiguité.

     Du point de vue juridique, le code marocain punit toute forme d'abus et d'exploitation sexuels sur les enfants. Le fautif est donc condamné à payer une amende qui peut-être assortie d'une peine de prison pouvant atteindre plusieurs années. Ces sentences sont rarement prononcées car les victimes ont peur de parler et de faire honte à leur famille. Les touristes, quant à eux, repartent chez eux le plus souvent sans être inquiétés.

     Revenant aux causes: La pauvreté reste le terreau du phénomène, puisque ces enfants sont principalement issus de milieux défavorisés, et sont la proie d'adultes mal intentionnés profitant de leur détresse socio-économique.

     Mais il n'y a pas que la pauvreté qui mène ces enfants à la prostitution, il y a aussi d'autres causes qui font d'eux des objets sexuels comme: l'éclatement de la cellule familiale, la maltraitance au sein de la famille, la démission de l'école, l'absence des repères éducatifs sexuels et également le travail précoce dans des ateliers chez des maâlems.

     Donc pour lutter contre ce phénomène qui se propage très vite dans notre société, il faut commencer par instaurer un programme d'éducation sexuelle dans les manuels scolaires, et bien évidemment, il faut que les parent en parlent aussi à leurs enfants.

26 juin 2005

Méga surprises, Méga Mall

     Un grand investissement a vu le jour le Vendredi 29 Avril dernier à Rabat. Vous l'avez sûrement tous reconnu, c'est le Méga Mall. Et comme son nom l'indique, c'est le plus grand centre commercial de l'Afrique du Nord puisqu'il s'étend sur 26 367m².

     Le projet voit tout en grand. Cet investissement, réalisé par une société des Emirates Arabes Unis, est de l'ordre de 220 millions de dirhams. Il s'inscrit donc dans le cadre d'une économie marocaine moderne et ouverte sur le monde.

     Ce grans investissement comprend une patinoire, un bowling et près de 80 enseignes nationales et internationales.

     Ainsi donc, Cellio, Diesel, Etam, Lacoste, Tiffany, Versace, Frank Provost, Façonnable, Quik Silver et beaucoup d'autres ont fait de ce grand espace leur refuge pour consolider leur présence au MAroc.

     La patinoire, qui est la 4ème en service sur le continent africain, est dotée d'une piscine de 1828m² et dispose de 150 places assises.

     Le Méga Mall abrite également un bowling de 12 pistes de 1230m². Cet espace de jeux offre également un espace Karaoké, un espace Billard pool et une cafétéria snack.

     D'un autre côté, ce projet a créé 1200 emplois directs et indirects et vise en moyenne 3000 visiteurs par jour.

     Aussi, des dirigeants libanais et marocains ont été chargé de l'encadrement du Méga Mall.

     Mais ne craignez rien! Si vous avez une petite faim, un food court disposant de 12 point de restauration rapide se trouve également au Méga Mall.

     A cet effet, et comme prévu, le Méga Mall a connu un très grand succès dès le premier jour de son ouverture, peut-être que c'est grâce à la publicité qui a envahit les rues de rabat et presque tout les journaux.

     En tout cas, pour tout ceux qui ne l'ont pas encore visiter, je vous invite à faire un tour dans le quartier le plus hipper de la capitale, vous y trouverez les verres et les marbres qui vous acceuillent à l'entrée du Méga Mall.

26 juin 2005

Lalla Salma en couverture

     Quelle surprise! l'hebdomadaire arabophone "AL JAREEDA AL OUKHRA" dans son édition du 6 au 12 Avril a consacré la une et le dossier principal au mode de vie de la princesse Lalla Salma, tous ce qui se rapporte à ses préférences, par exemple: ses marques d'habits préférées (Chanel et Valentino), son plat préféré (le tajine de viande aux carottes) ...

     Aussi, l'article a mis le point sur la relation conviviale entre la princesse Lalla Salma et le prince Moulay Rachid.

     Une autre surprise le lendemain de sa parution, c'est quand Mr Abdallah Lemrini, directeur du protocole royal et de la chancellerie, a envoyé une lettre au directeur de publication et au rédacteur en chef de l'hebdomadaire dans un ton méchant et menaçant concernant le sujet de la couverture.

26 juin 2005

l'instance nationale indépendante de la déontologie de la presse et de la liberté d'expression

     L'instance nationale indépendante de la déontologie de la presse et de la liberté d'expression a été créée recemment. c'est monsieur Alami Machichi qui a été élu à l'unanimité président de cette instance.

     Mais on se demende toujours quels sont les objectifs de cette instance? et pourquoi a-t-elle été créée?

     D'abord, la naissance de cette instance s'inscrit dans le cadre de l'action menée par le syndicat national de la presse marocaine (SNPM) pour la consécration de la liberté d'opinion et d'expression, et pour l'instauration des règles professionnelles et modernes qui régissent la profession.

     Bien évidemment, cette instance constitue un premier jalon sur la voie de la mise en place d'un Conseil National de la Presse qui sera une base de concertation entre les instances représentant les professionnels et chargé du traitement des différentes questions ayant trait à la profession dans le cadre du respect de l'indépendance de l'action journalistique, de la liberté de la presse et des droits de l'Homme.

     Sous-forme d'association privée à but non-lucratif, cette instance est régie par les dispositions juridiques en vigueur.

     Ainsi donc, la presse marocaine réitère sa volonté et son engagement à poursuivre la lutte pour la consolidation de la liberté d'expression et d'opinion, et la consécration du droit du citoyen à une information pluraliste, libre, honnête, intégrale et fondée sur des règles professionnelles modernes.

     L'instance nationale de la déontologie de la presse est constituée de journalistes affiliés au SNPM, de représentants de la fédération des éditeurs de journaux, de l'association marocaine des droits humains, l'association des barreaux du Maroc, l'union des écrivains du Maroc, la ligue marocaine de défense des droits de l'Homme, la commission de défense des droits de l'Homme, en plus de personnalités réputées pour leur honnêteté et leur compétance professionnelle.

     Dans le cadre global de son travail, l'instance usera de son autorité morale au sein de la profession pour le respect de l'éthique. aussi, elle pèsera de tout son poids et usera de tout son pouvoir pour s'opposer à toute forme de violations de la liberté d'expression et d'opinion.

     L'objectif de l'instance est de veiller à l'application de la charte d'éthique et de la liberté d'expression, de suivre l'exercice de la profession, de préserver le droit de l'opinion à l'information,protéger les journalistes dans leur mission et défendre les libertés de la presse, de l'opinion et de l'expression.

     Enfin, pendant les assises de presse tenues le 12 et 13 Mars derniers à Skhirat, les participants ont insisté sur le droit du journaliste à avoir accès à l'information en vue de consacrer la liberté de la pratique journalistique, à travers la suppression des sanctions privatives de la liberté et le renforcement de la déontologie de la profession.

     Les participants à cette rencontre ont proposé au ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, de tenir ces assises une fois par an en vue d'atteindre les objectifs escomptés.

Publicité
Publicité
26 juin 2005

coucou les amis! je pense que vous savez tous que

coucou les amis!

je pense que vous savez tous que je fais des études de journalisme et que je suis en première année. donc pour cette fin d'année scolaire, j'ai décidé de partager avec vous les quelques articles que j'ai pu rédiger en cours de presse écrite.

j'espère qu'ils vous plairont.

17 juin 2005

Internet. Blogueurs de chez nous Rachid Jankari,

Internet. Blogueurs de chez nous

Rachid Jankari, journaliste,
portail Menara (CM / Telquel)
La vague du "carnet de bord" interactif sur Internet (blog) rejoint nos côtes, attirée par quelques navigateurs passionnés et par une centaine d’adeptes. Blogueurs du Maroc, espèce en vogue ou brasseurs de vent ?


"Je blogue, donc j’existe". La nouvelle devise à l’accent mi-philosophe, mi-futuriste, gagnerait-elle les esprits du royaume ? Sous la cape d’un virus neuronal à tendance pandémique, la fièvre du blog – ou blogue, pour les chatouilleux de la langue française – semble glaner de plus en
image_sujet3_163_1_
plus d’adeptes marocains. Internautes acharnés et cadres branchés, étudiants en soif de socialisation et e-journalistes revendicateurs d’une place au soleil seraient la microsociété de dernier cri, cyberethnie pour les plus accros. Tous l’affirment, 2004 fut l’année du blog au Maroc et 2005 ne devrait que le consacrer davantage.
Drôle d’animal, diront de nombreux incrédules. A l’origine, une racine sémantique des plus subtiles… un web-log, en anglais, est un journal sur Internet : d’où le blog initial comme carnet de bord interactif et sans cesse actualisé, séduisant ses adeptes avec l’arme de la facilité – outils de langage et de mise à jour simplissimes. Selon les dernières mais capricieuses estimations, un nouveau blog serait créé toutes les 6 secondes.

Bavardage cathartique
"Les blogueurs dévoilent leur besoin de s’exprimer, de partager", explique Rachid Jankari, responsable de la rubrique technologie du portail Menara et premier blogueur marocain. "Le phénomène est né à partir du 11 septembre 2001, comme si la surdose d’informations ne répondait pas à l’émotion, d’où la recherche d’un traitement alternatif". Perché en haut de la tour Technopark en périphérie de Casablanca, d’où l’on contemple les lumières de la ville sous un voile rose de pollution, l’ancien journaliste de L’Économiste a l’air et jovial et illuminé d’un pionnier convaincu. "Bon, au Maroc, ce monde est embryonnaire, nous ne sommes que quelques dizaines, peut-être une petite centaine de blogueurs", dit-il tout en espérant que la blogaTtitude ne tardera pas à gagner les 2 millions d’internautes marocains (qui ont accès à Internet) dont 100.000 abonnés.
"Au départ, les blogs sont associés à un journal intime déversé sur le web, mais de plus en plus passent du blog nombriliste au partage de compétences, à une approche communautaire", poursuit Rachid Jankari. Certes, mais comme tout bon blogueur l’affirme, le propre du blog est la personnalisation à l’extrême. "Bloguer, c’est chercher à généraliser et à communiquer son ego assoiffé", avoue Tarik Saâdi, journaliste de e-Marrakech.info. "Je pense, j’écris et j’essaie d’exister le plus clairement possible dans mon blog (Al Jinane). C’est un système de vie sur la toile", poursuit le e-journaliste qui reste "blogué" près de 11 heures par jour.

Nouvel avenir de la liberté d’expression ?
"On attend beaucoup des blogs marocains, confie Tarik Saâdi, notamment le déblocage de la situation sociale, au moins pour les jeunes connectés. C’est fini la hchouma, le tberguig, on n'a plus le droit de s’autocensurer. La jeunesse marocaine doit foncer dans la bonne exploitation de la liberté de la nouvelle ère. Bienvenue à la créativité. Ceci est un appel ouvert à tous mes compatriotes pour larguer les amarres sur la toile blog…". Évoquant l’Iran où 100.000 blogs en persan et en anglais donneraient du fil à retordre aux élites conservatrices ou le rôle, au Maghreb, des blogueurs tunisiens, le e-journaliste de Marrakech est convaincu que "le blog d’essence journalistique peut jouer le rôle de pression et de complémentarité auprès des élites politisées", rajoutant que pour être crédible, cette famille de blogs exige d’être menée par un ou des professionnels. "Cette année, des blogueurs d’autres horizons ont été accrédités comme journalistes, moi-même, au Maroc, j’ai ma carte de presse en tant que e-journaliste", revendique Rachid Jankari.
Version politique, inspiré par les expériences américaine et française, le fondateur d’Alliance des libertés s’apprête à rendre public le blog de son parti. "Il aura pour but de créer et d’alimenter en permanence un débat de fonds sur les idées : la peine de mort, le cumul des mandats, la fiscalité… explique Ali Belhaj. Difficile d’avoir la parole dans les médias traditionnels, mais nous ne voulons pas être un cyberjournal de parti. Bien sûr ce n’est pas suffisant, compte tenu de l’analphabétisme, sans même parler de la fracture sociale… Mais c’est essentiel pour toucher les jeunes, disons les moins de 35 ans".

Des blogueurs encore sages
Parmi les blogs mondialement connus, celui de l’Irakien SalamPax, déversant au quotidien les heures de l’occupation américaine à 20.000 visiteurs et celui du journaliste de la BBC, aujourd’hui décédé, décrivant la progression de son cancer jusqu’à sa mort récente. Pour l’heure néanmoins, point de réelle impertinence parmi les blogueurs du bled. "On n’y a pas encore vu ni de réel scoop, ni d’info venant contredire ou épingler d’éventuelles insuffisances ou erreurs des médias traditionnels", rappelle Rachid Issari, qui enseigne les NTIC à l’ISIC de Rabat, ancien Institut supérieur de journalisme. La plate-forme des blogs n’est pas encore assez développée ; ce n’est pas la télévision, le blogueur est anonyme et le "blogging" encore très personnel".
"J’aime les blogs qui publient l’inattendu dans une société très statique, qui parlent de culture ou les blogs de nos compatriotes à l’étranger, poursuit Tarik Saâdi, ils donnent un bon exemple de blogging à la marocaine". A l’heure où le débat, sous d’autres cieux davantage connectés, oppose les détracteurs du "journalisme en pyjama" aux fans des "snipers de l’info" (selon Le Nouvel Observateur, des internautes spécialisés dans la contre-enquête et la critique des médias), les bloggers marocains montrent un manque d’excentricité qui siérait pourtant à leur jeunesse. C’est du bout des lèvres que, sur son blog où il raconte depuis plusieurs mois sa préparation à l’émigration vers le Québec, un jeune Marocain reconnaît, après plusieurs jours de jeûne, être exaspéré par le Ramadan, avant de dévoiler une photo de son nouveau-né. Du Canada également, une Marocaine blogue des photos inédites de la famille royale… A l’ouest, pour l’instant, rien de très nouveau. A quand le déblocage des blogueurs du bled ?

Le 17 février à l’Institut Supérieur de l'Information et de la Communication : deuxième Rencontre sur le phénomène des blogs. ISIC, Madinat al Irfane, Rabat

17 juin 2005

historique de maroc hebdo international

Historique

Maroc Hebdo International a été créé par Mohamed SELHAMI,
à Casablanca, Maroc, en novembre 1991. Notre journal est un magazine
d'informations générales, politique, sociale, économique et sportive,
nationales et internationales.
 
Maroc Hebdo International est un journal hebdomadaire indépendant
de tout parti, syndicat, groupe ou association. Depuis sa création,
Mohamed SELHAMI veille scrupuleusement au maintien
de l'indépendance du journal en restant à l'écart de tout prosélytisme
politique, idéologique ou autre.
Notre journal agit, semaine après semaine, pour n'appartenir qu'à ses
lecteurs et à l'équipe qui le fait. Dans un environnement connu pour
être contraignant, il réussit à préserver et à développer le choix
de l'information la plus complète, sa liberté de ton et d'analyse.
Cette volonté l'expose parfois à l'incompréhension ou même à l'hostilité.
Il a eu à en payer le prix à quelques reprises par des procès ou des saisies
du journal. Mais, les acquis de la tradition journalistique du Maroc
lui ont permis de faire front dans la sérénité et d'en sortir renforcé.
Maroc Hebdo est international depuis le numéro 212 du 10 au 16 février
1996. Notre journal est distribué en France, en Tunisie, en Belgique,
en Italie, au Canada, aux Etats-Unis, par les NMPP.
Il est fait par une équipe unie, jeune, passionnée et soudée.
Maroc Hebdo International est une entreprise de presse moderne qui
ménage à la personnalité de chacun de ses membres un espace de liberté
de conscience, de jugement et d'expression dans le souci de mettre en
valeur sa spécificité, ses goûts et ses aptitudes.
L'équipe de Maroc Hebdo International tend à s'étoffer tout en préservant
toutes ces orientations.

 

17 juin 2005

mami_1_..bladi_eljazayer.rm

8 février 2005

bonjour les blogueurs

ce blog a vu jour dans notre cour d'informatique après que le prof nous a  proposer de le faire.

voilà les premières lignes de mon journal.

j'espère qu'il vous plaira!

amusez vous bien à le lire.

Publicité
Publicité
jihaneh
Publicité
Publicité